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FLEM – Méthodologie d’étude terrain

Envoyé par le 24 Nov 2020 dans Projets | 0 commentaire

This entry is part 2 of 6 in the series FLEM

Partie 2: Méthodologie d’étude terrain

Depuis la crise sanitaire du Covid-19, les entreprises essaient de favoriser le télétravail. Cela a pour avantage de respecter les normes sanitaires imposées, et offrir la possibilité de réduire leurs locaux en faisant alterner les employés sur le même bureau. Cependant, certaines entreprises peinent à planifier les emplois du temps dans cette situation, entre les disponibilités et les exigences de leurs salariés, et recherchent une solution pour les aider à s’organiser.

Ce problème nous est apparu après une discussion avec un membre d’une de nos familles. Cette personne nous a raconté à quel point elle était confrontée à de nombreuses difficultés lors de l’organisation de l’entreprise.

Nous avons donc décidé de poursuivre notre enquête en interviewant des employés en entreprise. Parmi les personnes que nous avons choisi pour notre enquête, il y a des employés qui sont en télétravail partiel, des managers d’équipe et des employés qui sont chargés d’organiser le télétravail. Pour trouver ces personnes, nous avons effectué un travail de recherche parmi les connaissances que nous avons été amenés à rencontrer durant nos précédentes expériences professionnelles. Que ce soit parmi celles-ci ou leurs collègues, nous avons abouti à un échantillon de 10 personnes ayant une position différente par rapport à la problématique. Cela nous permet d’avoir une vision globale de l’éco-système de télétravail, et d’en comprendre les différents enjeux et points de vues.

Pour récolter ces informations, nous avons choisi un format d’interview classique, c’est-à-dire un entretien personnel avec chacune de ces personnes, en visio-conférence ou en tête à tête selon les disponibilités et préférences de chacun. Nous avons réparti ces interviews entre les trois membres de notre groupe, en faisant l’effort de ne pas faire correspondre un employé avec un membre du groupe qu’il connaissait déjà, pour éviter les risques de subjectivité et de biais durant l’interview et récolter le plus d’informations objectives possibles.
Voici la liste des postes des personnes que nous avons choisies:

    • manager en charge d’une vingtaine de personnes
    • un employé en dessous du manager
    • un employé lambda
      A noter que nous choisirons des groupes avec des capacités salariales différentes. Par exemple, un manager d’un grand groupe et un manager d’une plus petite structure.Pour chacune des interviews, nous avons établi une base de questions destinées à tous les employés, pour sonder leur avis global sur le sujet. Nous avons ensuite conçu des questions adaptées à chaque employé et à son poste, ce qui nous permettra de mieux cerner leurs points de vue personnels. Ces différents scénarios vont pouvoir confirmer ou non qu’un besoin existe pour l’organisation des espaces dans l’entreprise.
  • Voici la liste des personnes que nous avons choisis d’interviewer:

    Voici des exemples de types de questions que nous pouvons poser (ceci dépendant de comment se déroule l’entretien, nous adaptons les questions):

    • Comment se déroule le télétravail dans l’entreprise
    • Que pensez-vous du télétravail ?
    • Cette opinion a-t-elle évoluée depuis la crise sanitaire ?
    • Combien de personnes télétravaillaient avant et après le confinement ?
    • Le nombre de jour de télétravail a-t-il augmenté ?
    • Comment est géré le télétravail ? Qui sont les « valideurs » ? Qui organise le

      planning ?

    • Est-ce que plusieurs personnes partagent le même bureau ?
    • Avez-vous modifié l’organisation des bureaux ? Si oui, comment ceci s’organise ?
    • Avez-vous une différence dans l’efficacité des employés ?
    • Si la crise sanitaire n’est plus d’actualité, est-ce que vous garderiez cette

      organisation ?

Hypn – Enquête terrain et données recueillies

Envoyé par le 23 Nov 2020 dans TAF CoOC, Projets | 0 commentaire

This entry is part 5 of 6 in the series Hypn

Groupe 4 – BOUTHET ELODIE, LEBORGNE ROMEO, SAMMARI AKRAM

 

Enquête terrain et données recueillies – V2

 

Suite à la prise de conscience du sujet ainsi que de son public visé trop large pour notre étude terrain, nous avons pris la décision de nous recentrer et de nous concentrer sur la présence du smartphone dans les familles et leurs conséquences (notamment sur les conflits naissant de leur utilisation). Ainsi, nous avons pu interviewer plusieurs parents (plus exactement 5), ainsi que leurs enfants (étant au primaire ou au collège) pour avoir plus d’informations sur leurs problèmes par rapport à ce sujet. Nous avons également voulu solliciter des professionnels de l’enfance et de l’adolescence, sans succès. Nous allons donc nous appuyer sur les écrits de Serge Tisseron disponibles en ligne, pour un avis expert sur la question.

 

 

Interviews qualitatives auprès de parents

Nous sommes entrés en contact avec différents parents (mère ou père, 5 exactement) âgés de 36 à 44 ans.

Beaucoup ont offert un téléphone portable à leur enfant lorsque celui-ci entrait au collège principalement pour se rassurer et avoir un moyen de contact rapide (“C’est rassurant de savoir que ma fille peut m’appeler à tout moment”).

Plusieurs parents disent s’inquiéter des effets du smartphone sur la santé de leurs enfants (dommage aux yeux, sommeil diminué) . En général, ils essayent de retarder au plus l’achat du smartphone à leur enfant. Ils ont peur que leurs enfants deviennent addicts à leur smartphone et notamment aux réseaux sociaux, ce qu’ils peuvent parfois voir chez d’autres enfants, ou même dans la génération de jeunes adultes ayant grandi avec.

Tous les parents (les 5 interviewés) ont essayé de mettre en place des règles pour limiter l’utilisation du smartphone par leurs enfants. Certains réussissent mieux que d’autres à instaurer des règles qui sont respectées par les enfants quant à l’utilisation du téléphone (pas d’utilisation à table, limite de temps) tout en leur laissant plus de liberté pendant certaines périodes (week-end et vacances notamment). C’est compliqué la plupart du temps car beaucoup de parents n’ont pas le temps d’y faire trop attention et de suivre les aventures numériques de leurs enfants. Les règles peuvent parfois amener à des conflits dans la famille et les parents se sentent parfois coupables d’imposer ces règles, cela les fait passer pour des parents “vieux-jeu” et eux-mêmes n’ont pas envie de passer leur temps à “faire la police”.

Des alternatives comme le contrôle parental ont été mentionnées. Un parent ne savait pas que ça existait pour le portable et n’y avait donc pas pensé mais envisageait après son interview de le mettre en place car ces plus petits enfants ont du mal à respecter les règles.

 

Interviews qualitatives auprès d’enfants

Nous avons pu parler avec quelques enfants des parents interviewés précédemment. Ils avaient une moyenne d’âge de 10-12 ans, âge autour duquel ils demandent à leur parent leur premier portable avec plus ou moins d’insistance.

Un argument qui revient beaucoup chez les enfants pour justifier la demande du téléphone portable à leurs parents est “Tous mes copains ont un smartphone maintenant”. Ils disent en avoir besoin pour rester en contact avec leurs amis et les utilisent aussi pour jouer, regarder des vidéos ou encore quelquefois aller sur les réseaux sociaux (TikTok ou Youtube par exemple).

Les enfants ne comprennent pas toujours pourquoi on leur impose des règles par rapport à l’utilisation du smartphone, parce que “tous leurs amis font ça”, et trouvent ce comportement normal.

 

Données recueillies d’après les études de Serge Tisseron

Nous pouvons nous aider des études de Serge Tisseron afin de trouver des conseils pour répondre au problème de la sur-utilisation du smartphone chez les enfants.

Il a créé la règle 3-6-9-12 qui donne les bonnes pratiques d’utilisation des écrans: pas d’écran avant 3 ans, pas de console personnelle avant 6 ans, pas d’internet accompagné avant 9 ans et pas de réseaux sociaux avant 12 ans. Au fur et à mesure que l’enfant grandit, la prise de risque quant aux écrans est essentielle pour son autonomie et pour qu’il apprenne les principes d’Internet.

Il est important aussi de parler avec l’enfant dès le début d’utilisation ce qu’il voit et ce qu’il fait sur les écrans. Cela permet de développer le langage et la narration. Il apprend donc à faire fonctionner des capacités mentales peu mises à contribution par les écrans seuls. Cela permet également d’instaurer le dialogue et de créer des liens avec les parents.

L’écran doit toujours se situer dans l’espace commun et pas dans la chambre. Il faut fixer des règles claires, et ce, dès le début, sur le temps consacré aux écrans. Montrer l’exemple est également important : si un enfant voit son parent passer son temps sur les écrans alors mécaniquement il reproduira le même scénario. Imposer une règle comme ne pas utiliser son téléphone pendant les repas se doit d’être respectée également pour les parents.

La décision de l’âge à laquelle l’enfant aura son premier téléphone peut se déterminer avec lui. Serge Tisseron conseille d’anticiper, et d’en parler avec l’enfant pour savoir si ses amis possèdent déjà un smartphone, et à quel âge il imagine en avoir un. Encore une fois, le rapport des parents au téléphone se transmet à l’enfant : donc une omniprésence du téléphone chez le parent va donner envie à l’enfant d’en avoir un aussi.

 

Conclusion

Nous n’avons malheureusement pas pu faire un nombre très important d’interviews, notamment dû à cause de la situation sanitaire, et des restrictions de déplacement ce qui aurait pu nous aider à trouver plus de problèmes en commun dans les familles. Nous avons également au final choisi d’étudier les travaux de Serge Tisseron disponibles en ligne afin d’avoir un avis extérieur sur la question faute d’entretien avec des experts de l’enfance.

Néanmoins, nous pouvons noter que certaines questions ressortent. Les parents se demandent à quel âge ils devraient acheter le premier smartphone à leur enfant. Ils estiment tous que le téléphone est nécessaire pour pouvoir contacter facilement leur enfant à tout moment, tout en sachant les effets néfastes qu’il peut avoir sur sa santé. D’où la nécessité d’imposer des règles, mais encore faut-il faire comprendre à l’enfant pourquoi celles-ci sont imposées pour ne pas créer de conflits à la maison.

L’avis d’expert de Serge Tisseron souligne l’importance des règles à mettre en place dès le début d’utilisation des écrans. Il faut aussi faire attention en tant que parent à sa propre utilisation des écrans car l’enfant a tendance à imiter ses parents. Dans tous les cas, il est important de parler avec l’enfant de son utilisation des écrans, de ce qu’il fait dessus et quels sont les principes et les risques d’Internet. Ainsi, le parent aide l’enfant à avoir une utilisation raisonnée et saine des écrans.

FLEM – Enquête terrain et données recueillies

Envoyé par le 23 Nov 2020 dans TAF CoOC | 0 commentaire

This entry is part 5 of 6 in the series FLEM

Auteurs: BEN AYED Marwen, DHOUIB Elias, JAFFRY François-Louis

La recherche sur le terrain nous a permis de recueillir une mine d’information sur les besoins des entreprises, notamment au niveau des difficultés logistiques qu’elles ont pu rencontrer durant la crise sanitaire. Notre objectif est de mesurer leur rapport de ces difficultés avec le télétravail.

Cela nous a aussi permis de mieux cibler les entreprises qui pourraient y faire appel.

Notre méthode à d’abord consisté à nous tourner vers des secteurs utilisant fréquemment des outils informatiques visio-conférence (Zoom, Webex, Skype…).

Nous sommes entrés en contact avec des managers, des employés ainsi qu’un étudiant à l’université confrontés par ce problème. Nous avons ainsi réalisé au total 9 interviews.

Au final, cette étude donne lieu à une meilleure compréhension du besoin et surtout de quels métiers pourraient être avantagés par notre solution, à savoir:

  • Un profil de métier (tel qu’un manager) ayant à sa charge plusieurs équipes. Sa vision du placement de chaque personne se fait au jour le jour. Lors des interviews, il fallait faire très rapidement la distinction entre une entreprise possédant les locaux ou non. De ce fait, les réponses étaient différentes car l’un voulait diminuer la taille des locaux pour des raisons économiques tandis que l’autre pour des raisons de réaménagement de l’espace. Nous avons pu noter qu’avoir des bureaux non attribués peut permettre à certains managers de transformer un bureau en salle de réunion. Le retour de ces personnes montrent que la gestion est faite et structurée mais reste relativement contraignante surtout dans des cas de changement de dernière minute.
  • Un profil de métier d’un salarié étant sur plusieurs projets différents. Sa vision reste relativement ouverte, à part le fait que certain salariés ne veulent pas forcément partager le même clavier et la même souris (car ils jugent ça personnel). De manière générale, il n’y a pas de conflits pour partager un bureau avec plusieurs personnes ou même d’être dans des pièces différentes. Au contraire, le fait de se retrouver avec la même équipe dans la même pièce permet de pouvoir avancer plus rapidement sur les différents points d’un projet.
  • Un profil d’étudiant nous permettant d’élargir la vision de notre solution et être sur de ne pas passer à côté d’un éventuel secteur. En effet, l’enseignement a été touché par la crise sanitaire comme les autres secteurs et une organisation a du être mise en place. Nous avons préféré laisser cet interview dans le liste mais malheureusement au vu de notre problématique, le besoin n’est pas présent.

Voici la liste des personnes que nous avons interviewé, ainsi que leurs problématiques et leurs objectifs:

  • Chiheb

Son rôle : manager et chef de projet dans le département IT dans la banque d’investissement. Au début Chiheb nous a fait part de sa relation plutôt positive avec le télétravail, la qualifiant de flexible et lui apportant une souplesse au niveau de son emploi du temps.

Cependant il était souvent confronté à un problème pour notamment prévoir ces journées de télétravail ainsi que pour connaitre les jours de présentiel des autres membres de sont équipe. De ce fait, lors de ces jours en présentiel, Chiheb devait envoyer un mail afin de connaitre les employés présents ou non, mettant en avant le besoin d’une gestion par rapport à cela.

  • Monsieur X

Une personne qui travaillait dans le ministère des finances. Son rôle : Directeur de projet informatique ayant à sa charge 60 personnes réparties dans toute la France.

Son ressenti par rapport au télétravail était beaucoup moins enthousiaste notamment à cause des difficultés que cela pouvait engendrer : perte de connexion internet, enfants parfois présents à la maison, personne dans l’équipe qui n’avait pas la culture du travail à distance…

Suite à cela nous avons voulu savoir, en dehors de la période de crise sanitaire, comment la répartition des bureaux s’organisait avec les employés ? Un problème s’est vite manifesté:

l’espace personnel étant mal réparti, beaucoup de bureaux se retrouvait vide. Ainsi on ne pouvait pas savoir si cette personne n’était pas venu travailler car elle était absente (maladie etc), en télétravail ou en pause.

  • Walid

Un autre profil apparu : celui des étudiants. En effet avec la crise COVID-19 et l’apparition des cours en ligne cela nous semblait essentiel de s’y intéresser.

Walid, étudiant à l’université, a directement montré une inquiétude sur le déroulement des cours en ligne ou en présentiel. A cause des règles sanitaires, il ne savait pas si cette semaine, son groupe avait cours en présentiel ou en distanciel. Par rapport au comportement de l’étudiant (change souvent de salle, des cours différents etc) il est très vite apparu que ce type d’utilisateur ne pouvait pas répondre à notre problématique.

  • Yannick

Yannick est manager à ArcelorMittal. Les employés y compris lui pratiquent le télétravail 2-3 jours dans la semaine. Ils ont déjà une application de réservation de bureau mais ils sont confrontés à des problèmes quotidiennement. Pour lui, ce genre d’application ne répond pas aux besoins de la gestion de l’espace. Ils sont dans une dynamique de réduction des espaces afin de les réaménager car les locaux leur appartiennent. A terme, il s’agit de faire tourner plusieurs personnes sur le même bureau et synchroniser les emplois du temps afin que les équipes puissent se retrouver. Ceci permettrait, d’une part de créer de nouveaux espaces de réunions et d’autre part de respecter les règles sanitaires.

  • Jean

En charge du déploiement des solutions CRM et DPE chez ArcelorMittal il pratique le télétravail 2-3 jours dans la semaine et n’est pas contre partager son bureau, mais préfère avoir sa propre souris et clavier. Changer de bureaux de manière dynamique lui permettrait d’être dans la même pièce que d’autres équipes qui travaillent sur le même projet lui évitant de se déplacer dans l’entreprise pour poser des questions ou se synchroniser sur certains points. Le fait de savoir si un membre de son équipe est là grâce à un tableau interactif n’est pas forcément changeant pour lui car il communique énormément avec ces collègues donc il sait s’ils sont en présentiel ou distanciel. Par contre avoir cette information pour d’autres équipes serait positif car parfois il peut y avoir des imprévus (comme un développement qui n’est pas passé en production) obligeant les parties à se voir pour avancer plus vite.

  • Sophie

En charge du maintien de E-Steel et DPE chez ArcelorMittal: elle pratique aussi le télétravail 2-3 jours dans la semaine. Elle a exactement le même profil que Jean et les mêmes attentes à l’exception du partage de la souris et du clavier

  • Corentine

Chargée des ressources humaines dans une boite industrielle. Depuis la crise Covid-19, les employés alternent entre télétravail et présentiel. C’est son rôle d’organiser en conséquence les emplois du temps et de répartir les employés en présentiel sur les bureaux disponibles. Après un début difficile, un rythme général a été trouvé, mais face à certaines demandes des employés, elle se retrouve embarrassée devant la réorganisation à faire.

  • Maxime

Employé dans une boite d’assurance. Sa boite est passée en télétravail partiel après la crise sanitaire, et il travaille 3-4jours par semaine en présentiel. Ce n’est pas lui qui a choisi ses jours de télétravail mais il peut demander exceptionnellement à changer de jour. C’est compliqué pour lui de savoir instantanément lesquels de ses collègues sont en télétravail.

  • James

Manager d’une start-up. Ces employés et lui-même ont toujours été majoritairement en télétravail, mais louaient quand même des locaux pour les réunions. Depuis la crise sanitaire, ces réunions se font en visio-conférence, et les employés gardent leur rythme de télétravail quasi-systématique. James songe à changer de locaux pour en louer un plus petit, vu que les réunions se font tout aussi bien en visio-conférence. Comme la start-up est composée de 6-7 employés, il n’y a jamais la totalité présente. Pour que l’organisation avec des plus petits locaux fonctionne, il faudrait prévoir à l’avance quels employés peuvent se rendre dans les locaux si besoin.

Si les personnes que nous avons interviewées ont des profils et des postes différents, nous pouvons quand même constater des similitudes dans certaines problématiques.

En effet, on remarque tout d’abord que les personnes les plus impactées par le télétravail sont celles qui organisent les emplois du temps de plusieurs employés et qui doivent gérer la répartition de ceux-ci parmi les bureaux disponibles. Ces personnes sont généralement dans des entreprises, avec un grand nombre d’employés à gérer. En effet, plus il y a d’employés et de bureaux, plus les normes sanitaires posent des contraintes au sein du bureau et requièrent une organisation fiable et robuste aux différentes demandes des employés. Cette organisation s’avère très compliquée à faire par une personne sans aide extérieure, et ses personnes se retrouvent submergée entre la répartition des bureaux et les demandes des employés.

On remarque aussi que les employés eux mêmes, même s’ils n’ont pas l’organisation à faire, se voient confrontés à des emplois du temps qui ne leur conviennent pas toujours, et à la difficulté de savoir si leurs collègues sont en télétravail ou en présentiel. Ils se voient donc obliger de demander directement, ce qui peut engendrer une perte de temps conséquente.

Enfin, on remarque que les start-up, les petites entreprises et les étudiant sont peu concernées par ce problème, car l’organisation se fait beaucoup plus facilement. En outre, la solution peut tout à fait être proposé à ces start-up ou petites entreprises dans le cas où elles souhaitent s’agrandir.

On peut donc en conclure que le problème principal, à savoir la difficulté d’organiser et de répartir les employés en présentiel parmi les bureaux disponibles, pourrait être résolu avec l’aide d’une solution répartissant automatiquement et ajustable manuellement les employés en télétravail et en distanciel en fonction du nombre de jours de télétravail par semaine décidé par l’entreprise, en les assignant à des bureaux de manière à respecter les normes sanitaires. Une fois cette organisation fixée, la solution pourrait indiquer en temps réel la situation de n’importe quel employé (distanciel ou présentiel).

Hypn – Personas

Envoyé par le 21 Nov 2020 dans TAF CoOC | 0 commentaire

This entry is part 3 of 6 in the series Hypn

Auteurs (groupe 4) : Élodie Bouthet, Akram Ghaith Sammari, Roméo Leborgne

 

Pour ce projet, nous nous intéressons à la présence du smartphone dans les familles et leur conséquences, notamment chez des parents ayant leurs enfants en fin de primaire/collège. La solution pensée permettrait d’aider le parent à instaurer une utilisation saine du téléphone pour son enfant. Il nous semblait donc évident de présenter deux personas : le parent et l’ enfant.

Premier persona : le parent

Céline est très occupée par son travail et son mari également. Ils doivent même parfois faire appel à leur nounou le soir quand ils ne peuvent pas rentrer à la maison. Quand ils peuvent rentrer tôt le soir, entre faire les courses et préparer le repas pour 5, ils n’ont que très peu de temps pour surveiller ce que font leurs enfants. Ils ne peuvent donc pas faire de cas par cas concernant leur utilisation des écrans. Ils ont bien pensé à les interdire, afin de passer du temps avec eux et de les empêcher de devenir addicts, mais cela a provoqué des tensions, ce qui empirait leur quotidien et leur relation avec leurs enfants.

Ils ont donc besoin d’une solution qui permettrait à leurs enfants en âge d’avoir un portable de devenir plus responsable vis à vis de leur utilisation de ce dernier, et cela en autonomie (ils n’ont pas le temps de le surveiller en permanence) et en douceur (leurs enfants ne doivent pas sentir une privation pour ne pas provoquer de disputes et de tensions)

Deuxième persona : l’enfant


Baptiste va faire son entrée au collège. Il a un smartphone depuis peu de temps. Ca lui permet de se sentir moins seul à la maison comme il est enfant unique. Il aime parler à ses amis en face à face mais ce n’est pas toujours possible, d’autant plus que ses parents sont séparés donc il n’est pas forcément à proximité de ses amis d’école. Du coup, il accorde beaucoup d’importance à son téléphone qui lui permet de rester en contact avec ses amis via les réseaux sociaux ou tout simplement en jouant à des jeux en ligne avec eux. Ses parents lui ont interdit d’utiliser des écrans le soir ce qui l’énerve beaucoup car ses autres amis n’ont pas ces règles. Il trouve ca normal d’utiliser son téléphone et ne trouve pas qu’il l’utilise de trop. Du coup, il ne comprend pas les règles imposées par ses parents.

RéCup – EXPRESSION DU BESOIN

Envoyé par le 20 Nov 2020 dans Projets, TAF CoOC | 0 commentaire

This entry is part 5 of 6 in the series RéCup

I. Présentation du projet

Les cafés, restaurants et cafétérias font face depuis de nombreuses années à des vols et casses de tasses. Bien que la tasse ne soit pas un objet de valeur, à grande échelle ces actes ont de multiples conséquences. Tout d’abord, ces actes ont un impact éthique car les vols (ou emprunts à longue durée) ne sont pas tolérés en société. Les autorités n’ont malheureusement pas le temps de prêter attention à ce type de petit larcin et les personnes malveillantes ont donc gain de cause. Ensuite, les actes de casses, de pertes et de vols de tasses représentent un impact financier pour l’institution qui les as achetées. Si l’on prend comme exemple la cafétéria de l’IMT Atlantique, c’est environ une centaine de tasses qui sont perdues chaque année et qui doivent être recommandées. Si l’on considère le prix d’une tasse à 1€ l’unité grâce à un achat groupé. Le coût annuel de ces pertes s’élève à une centaine d’euros. Pour finir, ces actes ont aussi un impact sur l’environnement puisqu’ils impliquent d’utiliser un nouveau matériel sans que le précédent ait complété son cycle de vie. Pourtant lorsqu’une tasse est utilisée sur un cycle de vie complet, son bilan environnemental est meilleur en tout point que celui de son concurrent direct le gobelet comme le montre ce tableau.

Gobelet carton Tasse céramique
Changement climatique 100 ans (kgCO2éq./365 services) 26 5.5
Santé humaine (106 DALY/365 services) 18 5
Qualité des écosystèmes (PDF.m².an/365 services) 9 1.8
Ressources (MJ/365 services) 450 50
Consommation d’eau (m3/365 services) 1.38 0.18

 

Afin de limiter les différents impacts cités précédemment, nous avons pensé à mettre en place un système qui responsabilise et incite les consommateurs à rapporter les tasses. Ce système permettrait également aux responsables d’établissement utilisant des tasses en céramique de réduire les coûts de rachat de ces contenants.

La solution que nous souhaitons mettre en place est basée sur deux principes :

  • la mise en place d’un système de caution
  • la mise en place de consigne de récupération des tasses

Ainsi, la mise en place de tels systèmes permettrait de réduire les coûts de l’entreprise ainsi que l’impact écologique lié à la fabrication de nouvelles tasses.

La solution permettant de répondre aux besoins du client en utilisant ces deux techniques vous sera exposée dans la suite de cet article.

II. SOLUTION

A. Fonctionnalités générales

Nous avons listé ci-dessous la fonction principale ainsi que les fonctions contraintes majeures de notre système.

Collecte des tasses même après la fermeture de l’organisme:

Le système doit permettre de collecter les tasses même après la fermeture de l’organisme afin que les utilisateurs puissent déposer leur tasses même si le personnel n’est plus présent.

Pour ceci, nous allons configurer le système pour qu’il soit actif en permanence ou selon des horaires particuliers selon les besoins du client.

Identification des utilisateurs :

Le système doit identifier de manière unique les utilisateurs afin de :

  • Déterminer les utilisateurs qui ont emprunté une tasse lors de la consommation d’une boisson chaude
  • Identifier l’utilisateur lorsqu’il dépose sa tasse

La manière de réaliser cette fonctionnalité peut différer selon le type d’organisme. Dans le cas d’une cafétéria d’école ou d’entreprise qui possède déjà un système de badge, nous allons :

  • Connecter le système à leur base de données afin de pouvoir récupérer les comptes utilisateurs et modifier les valeurs inscrites dans la base si nécessaire
  • Ajouter au système un lecteur de badge RFID de réutiliser le système de badge déjà existant

Dans le cas d’un restaurant qui ne possède pas d’un système de badge ou de base de données préétablie, nous allons :

  • Mettre en place leur propre base de données
  • Permettre aux utilisateurs de se créer un compte pour ajouter leur profil à la base de données

Acheminement des tasses jusqu’à un bac de récupération :

Lorsqu’un utilisateur dépose sa tasse dans le système, celui-ci doit être capable d’acheminer les tasses jusqu’au bac de récupération permettant ainsi faciliter le processus de stockage des tasses. Pour ceci, l’utilisateur dépose sa tasse sur un plateau mobile qui sera capable d’aligner la tasse avec des compartiments puis qui poussera ensuite la tasse jusqu’au fond du compartiment

Disposition organisée des tasses :

Ainsi, le système permet d’optimiser le rangement des tasses afin de pouvoir optimiser la place au sein du bac de rangement et donc permettre de stocker un maximum de tasses.

Prélèvement d’une caution :

Le système doit être capable de prélever une caution aux utilisateurs qui ont emprunté une tasse. La mise en place de cette caution permet de :

  • Rembourser le propriétaire de la tasse en cas de perte, de casse ou de vol
  • Inciter les utilisateurs à rendre les tasses qu’ils empruntées afin d’éviter de les abandonner sur les lieux communs

Le système de prélèvement peut être différent selon le type d’institution. Dans le cas d’une cafétéria d’école ou d’entreprise, le prélèvement se fait sur la cagnotte de l’utilisateur associée à son propre compte alors que dans le cas d’un restaurant, la caution est prélevée directement sur le compte bancaire de l’utilisateur via un paiement par carte bancaire.

Rendre la caution prélevée :

Bien entendu, si le système prélève un certain montant à l’utilisateur pour la caution de la tasse empruntée, il est aussi capable de lui rendre sa caution si la tasse est ramenée en bon état. Sans cette fonctionnalité, l’utilisateur perdrait à chaque consommation de boisson chaude le montant de la caution ce qui est à éviter à tout prix car cela aurait pour effet de :

  • Dissuader les utilisateurs de consommer des boissons chaudes
  • D’augmenter les bénéfices de l’entreprise qui prête les tasses

Ne permettre la récupération des tasses qu’aux collaborateurs de la cafétéria :

Le système doit permettre aux collaborateurs de la cafétéria ou restaurant de pouvoir récupérer les tasses notamment lorsque le bac de stockage est plein. Hormis, les collaborateurs de la cafétéria, les autres utilisateurs du système ne doivent pas avoir accès au système de stockage des tasses afin d’éviter les vols. Nous avons donc prévu une porte avec une serrure à l’arrière du système. Seuls les collaborateurs de la cafétéria auront la clé qui peut ouvrir la porte afin de pouvoir récupérer les tasses.

 

Affichage du nombre de tasses empruntées :

Le système doit permettre de déterminer en temps réel le nombre de tasses empruntées afin de vérifier que les utilisateurs ont bien tous rendu leur tasse. Pour ceci, le système doit fournir un serveur Web accessible par les collaborateurs de la cafétéria qui permet de visualiser en temps réel le nombre de tasses qui ont été empruntées.

Vérifier que l’objet est bien une tasse :

Le système doit donner la garantie que l’objet déposé par l’utilisateur est une tasse afin d’éviter que les utilisateurs remplacent les tasses par d’autres objets pour dérober les tasses. Pour ceci, nous allons mettre en place une caméra reliée qui sera reliée à une intelligence artificielle de reconnaissance d’objets.

 

Afin de décrire plus finement les fonctionnalités de notre système, nous avons établit un cahier des charges qui renseignent l’ensemble de ces éléments ainsi que les et contraintes auxquelles le système devra répondre :

Fonctions Critère Niveau
La fonction principal du système est de garantir la collecte des tasses au sein de cafétéria et de restaurants même en dehors de leurs horaires de fermeture. Alimentation du système configurable selon les besoins de l’utilisateur Horaires d’activation du système configurables
Le système doit pouvoir identifier de manière unique les utilisateurs Utilisation d’un système de lecteur de badge ou de compte en ligne
Le système doit acheminer les tasses déposées jusqu’au bac de récupération Mise en place d’un plateau mobile capable d’aiguiller les tasses jusque dans les compartiments
Le système doit disposer les tasses de manière organisée afin d’optimiser le stockage Configuration d’un système de rangement intelligent
Le système doit prélever une caution à l’utilisateur lorsqu’il emprunte une tasse Modification de la cagnotte de l’utilisateur dans la base de données Prélèvement de 2€
Le système doit rendre la caution empruntée à l’utilisateur lorsqu’il rend sa tasse Si l’objet déposé est bien une tasse, le système envoie une requête à la BDD pour supprimer la caution Caution de 2*n euros (où n est le nombre de tasses)
Le système ne doit permettre la récupération des tasses qu’aux collaborateurs de la cafétéria Fournir un accès au tasse par une porte avec une clé
Le système doit permettre d’afficher à l’utilisateur le nombre de tasses qu’il a emprunté Mise en place d’une page sur un serveur Web accessibles par les utilisateurs qui affiche le nombre de tasses emportées
Le système doit vérifier que l’objet déposé est bien une tasse Mise en place d’une caméra reliée à une intelligence artificielle de reconnaissance d’objets
Le système doit permettre d’indiquer la capacité restante du bac Mise en place d’une page Web accessible au collaborateur qui affiche la capacité restante du bac
Le système doit informé les collaborateur de la cafétéria lorsque le bac de récupération est plein Mise en place d’une page Web accessible au collaborateur qui affiche lorsque le bac est plein
Le système doit indiquer le nombre de tasses restantes à ramener pour un utilisateur Mise en place d’une page sur un serveur Web qui affiche l’information
Le système doit permettre à l’utilisateur de choisir le nombre de tasses à ramener Le système redemande si l’utilisateur souhaite déposer une tasse avant de terminer l’opération
Dans le cadre d’organisme dont les locaux ont une grande superficie, le système doit être accessible à plusieurs endroits Installation du système à plusieurs endroits de la zone géographique 1 point de collecte par km²
Le système doit permettre la modification des horaires de démarrage/extinction du système Fournir via un compte administrateur l’accès à une page Web permettant de configurer les horaires de démarrage/extinction du système
Le système doit fournir la possibilité d’être éteint manuellement par l’administrateur Fournir via un compte administrateur l’accès à une page Web permettant d’éteindre le système manuellement
Le système doit permettre son accès à l’administrateur système afin d’être mis à jour Mise en place d’un serveur SSH sur la machine
Le système doit permettre son accès à l’administrateur système afin d’être dépanné si besoin Mise en place d’un serveur SSH sur la machine + fournir un accès physique au composant

 

B. Schéma d’architecture global

1) Design de la solution

Notre système comporte une importante partie mécanique qui permet de stocker les tasses déposées par les utilisateurs.

Lorsqu’un utilisateur dépose une tasse dans la fente prévue en façade de notre système, elle est analysée par une caméra. Un algorithme permet de décider si l’objet est bien une tasse. Le cas échéant, la tasse déposée est acheminée de la fente vers un plateau mobile (1). Grâce à un système d’axes (2), le plateau peut translater latéralement mais aussi bouger en hauteur. Ceci permet d’acheminer la tasse déposée vers une rangée libre d’un plateau en bois (3). Le système de blocage qui maintient la tasse en place sur le plateau mobile s’abaisse et la tasse glisse vers son emplacement.

 

Pour ce faire, à la fois le plateau mobile et les plateaux en bois sont inclinés afin de laisser la gravité entraîner les tasses.

Le système aura au préalable déterminé s’il reste de la place sur les plateaux et, si oui, à quel endroit.  Une fois le stockage de la tasse terminé,  le plateau mobile revient à sa position initiale et attend une nouvelle tasse à stocker.

 

Lorsqu’un collaborateur de la cafétéria souhaite vider les tasses de la machine, il doit ouvrir une porte à l’arrière du système. Cette porte n’est accessible qu’aux collaborateurs de la cafétéria.

Dès lors que la porte est ouverte, le collaborateur a accès aux plateaux remplis de tasses. Il peut tirer ces plateaux vers lui afin de les retirer du système. Pendant l’opération, les dépôts de tasses sont impossibles.

Une fois les plateaux vides, il peut les replacer dans la machine et refermer la porte. Les utilisateurs peuvent ensuite à nouveau déposer leur tasse.

 

Ce système de stockage a plusieurs avantages ; tout d’abord il permet d’optimiser l’espace de stockage grâce aux plateaux empilés en hauteur. Ensuite la mise à profit de la gravité pour acheminer les tasses dans leur emplacement permet de simplifier le système et de ne pas s’encombrer d’une motorisation supplémentaire pour le mouvement des tasses.

Par ailleurs, le système retenu aura un coût relativement faible et sera réalisable dans le temps imparti.

2) Schéma électrique du système global

La carte de programmation que nous allons utiliser pour mettre en place notre maquette sera un Raspberry PI. Le Raspberry Pi s’occupera de comprendre l’ensemble fonction logicielle décisionnelle et piloter les composants du système.

Plusieurs composants seront visibles de l’utilisateur puisqu’ils lui seront utiles afin d’interagir avec le système. On trouve parmi ces composants :

  •  L’écran LCD qui indique à l’utilisateur les consignes d’utilisation et qui donne des informations supplémentaires (nombre de tasses déposées , la validation de l’opération, etc…).
  • Le lecteur RFID qui permet d’identifier de manière unique les utilisateurs afin de garantir la restitution de la caution à la bonne personne.
  • Le bouton permettant de finaliser la remise des tasses.

Ensuite, d’autres composants sont utiles au fonctionnement interne du système. On retrouve parmi eux la Pi camera chargée de filmer les objets introduits dans le système. Le système interne comprend aussi plusieurs servomoteurs chargés du fonctionnement mécanique simple à savoir : la mobilité du plateau, les écrous de blocage du système…

Certains servomoteurs nous serviront aussi pour des fonctions mécaniques plus complexes telles que la distribution. Pour celle-ci, des moteurs pas à pas seront utilisés pour créer une distribution des tasses sur les axes X Y(perpendiculaire au sol). Un servo moteur sera utilisé pour retenir la tasse dans le plateau de distribution le temps qu’il se situe face à un emplacement de libre. Une fois l’emplacement de libre atteint le servo moteur s’active qui laissera glisser la tasse vers le compartiment.

 

Un bouton sera également ajouté à l’arrière du point de récupération dans la partie fermée à clef , qui permettra de réinitialiser le compteur de tasses dans la machine.

 

Enfin , plusieurs capteurs de contact seront positionnés dans le point de récupération afin de contrôler les positions des différents éléments , par exemple :

 

  • trappe de façade ouverte/ fermée
  • porte arrière de la consigne ouverte /fermé
  • position du plateau de distribution a sa position initiale
  • présence des plateaux

 

III. CAS D’UTILISATIONS DE LA SOLUTION

 

  A. DIFFÉRENTS CAS D’UTILISATION DU SYSTÈME

Les fonctionnalités principales du système sont destinés à deux types d’acteurs

  • Les utilisateurs (consommateurs de boissons chaudes)
  • Les collaborateurs

Pour ces deux acteurs nous avons établi plusieurs cas d’utilisation typiques.

  1. Cas d’utilisation de l’utilisateur

a) L’utilisateur souhaite déposer une tasse :

Le dépôt d’une tasse par un utilisateur est établi en trois phases.

Tout d’abord, l’utilisateur se rend au niveau de la consigne afin de déposer sa tasse. Une succession d’interaction avec le système s’effectueront donc afin de réaliser cette opération:

  1. L’écran LCD indique à l’utilisateur qu’il doit présenter son badge pour s’identifier
  2. Ainsi, l’utilisateur présente son badge au niveau du lecteur RFID
  3. Une fois l’utilisateur identifié, l’affichage indique que l’utilisateur peut déposer sa tasse.
  4. L’utilisateur introduit la tasse dans le compartiment prévu à cet effet.

L’ensemble de ces actions est schématisée ci-dessous :

Ensuite, le système va entrer dans une phase d’analyse de l’objet introduit dans le compartiment afin de vérifier qu’il s’agit bien d’une tasse. Cette phase est réalisée en quatre étape :

  1. La Pi Caméra reliée au Raspberry Pi qui filme en permanence le compartiment capture le flux vidéo et l’envoie au Raspberry Pi
  2. Le Raspberry Pi analyse ensuite l’image à l’aide d’un modèle de réseau convolutionnel appelé VGG16 afin de vérifier que l’objet est bien une tasse
  3. Si ce n’est pas le cas alors le système affiche via l’écran que l’utilisateur doit déposer une tasse et est renvoyé à la phase 1. Si l’objet est bien une tasse alors le système propose à l’utilisateur de rajouter une autre tasse.

L’ensemble de ces actions est schématisée ci-dessous :

Pour finir, le système entre dans une troisième phase de validation de l’opération. Cette opération est réalisée en trois temps :

  1. L’utilisateur appuie sur le bouton “Terminer” afin de valider l’opération et indiquer que le système ne prend plus de tasse en compte.
  2. Ainsi, le système compte le nombre de tasses qui ont été introduites et calcule la caution qui doit être rendue à l’utilisateur. Il envoie donc le résultat à la base de données afin de modifier la cagnotte de l’utilisateur en conséquence.
  3. Pour finir, le système affiche via l’écran LCD que la caution lui a été rendue.

L’ensemble de ces actions est schématisée ci-dessous :

 

2) Cas d’utilisation du collaborateur

a) Le collaborateur souhaite prélever une caution à l’utilisateur:

Le collaborateur sera appelé à devoir prélever une caution à l’utilisateur afin de garantir que dans le cas d’une casse, perte ou vol de cette tasse, l’objet lui sera remboursé. Ainsi, lorsque l’utilisateur badgera au niveau du lecteur RFID, une requête sera envoyée à la base de données afin de prélever 2€ supplémentaires à l’utilisateur pour la caution. Le système peut intervenir dans cette opération dans le cas où l’institution ne bénéficie pas d’une base de données. Elle pourra alors utiliser celle fournie par notre système.

 

b) Le collaborateur souhaite récupérer les tasses dans le bac:

Dans ce cas d’utilisation, l’opération à réaliser est très simple afin de faciliter l’expérience utilisateur. Afin de récupérer les tasses, le collaborateur doit ouvrir à l’aide d’une clé qui lui sera fournie une porte à l’arrière du système. Cette offre donne accès au bac de stockage des tasses. Ainsi le collaborateur n’a plus qu’à extraire les bacs du système afin d’en récupérer les tasses.

Après avoir réalisé cette opération, l’utilisateur devra se rendre sur le site Web permettant d’interagir avec le système afin de réinitialiser manuellement le comptage des tasses. Ceci permet de garder à jour le comptage permettant de définir le nombre de tasses empruntées et la capacité de stockage restante du système.

 

B. Diagrammes de use-case

Selon le rôle des acteurs interagissant avec le système nous pouvons répertorier plusieurs use-cases. Ceux-ci ont été représentés dans les diagrammes de use-case ci-dessous :

Utilisateur : 

 

Collaborateur : 

Administrateur : 

CoOCPen – Expression de besoin

Envoyé par le 17 Nov 2020 dans TAF CoOC | 0 commentaire

This entry is part 4 of 6 in the series CoOCPen

Auteurs : Bonnemains Sean, Herman Corentin, Benslimane Hazem

 

Contexte:

La crise du COVID-19 a obligé les personnes qui donnent des cours particuliers à s’adapter et à proposer des cours particuliers en ligne; néanmoins cette transition a été compliqué. En effet, sur Superprof par exemple, une plateforme spécialisée dans la proposition de cours particulier, 2/3 des cours initialement prévus ont été annulés. Une enquête de terrain nous a permis de remarquer que cela était notamment dû à un certain nombre de difficultés à surmonter : utilisation de diverses applications pas forcément adaptées en même temps, une interaction très limitée pour les élèves. Ce constat a notamment été dressé dans le cadre des cours scientifiques à distance tout particulièrement. Hors c’est un enjeu de taille : en effet, d’après une étude de la PISA menée en 2012 a montré que 40% des étudiants de 15 ans ont suivi à minima 1h de cours supplémentaire de mathématiques en dehors des cours dispensés à l’école.

 

Compte tenu de ces constats, nous avons décidé d’adresser la problématique suivante : Comment améliorer les interactions dans le cadre des cours particuliers scientifiques effectués en ligne, et ce en particulier pour les élèves ?

 

Notre solution : le CoocPen

 

Afin de répondre à cette problématique, nous souhaitons développer un stylo connecté dont le principe est simple : un accéléromètre relié à une carte électronique de type Arduino Uno ou Raspberry Pi 0. A partir des données de position x,y,z récupérées avec l’accéléromètre lorsque l’utilisateur écrit, un traitement est effectué en utilisant de l’Intelligence Artificielle afin de restituer le tracé de l’utilisateur. L’idée est alors de transmettre ce tracé sur un document partagé par les deux utilisateurs par le biais d’une application web accessible par l’ordinateur personnel ou une tablette par exemple. A cela, on vient finalement ajouter un accès à la webcam et au micro des utilisateurs (l’élève et le professeur) afin de leur permettre d’échanger de la manière la plus naturelle possible, tout en collaborant en simultané sur leur document.

Dans un second temps, on pourrait envisager un second traitement des tracés afin de reconnaître des symboles mathématiques par exemple, qui saurait projetés sur le document directement.

L’architecture de ce système nécessite néanmoins d’être mieux précisée, notamment autour de la question de la transmission des données brutes entre le stylo et le lieu où ces données seront traitées ainsi que l’accès de l’application au données traitées pour ensuite les projeter sur le document, ou bien encore sur la manière dont ces données sont traitées. Cela sera effectué lors de notre premier sprint.

 

Un use case typique de notre solution :

 

Le professeur ouvre un document partagé à travers l’application web, puis invite l’élève à le rejoindre. Ils se donnent les consignes et commencent à échanger par caméras interposées. Le professeur, qui donne un cours de mathématiques sur les polynômes de degré 2, donne une équation à l’élève et lui demande de la résoudre. L’élève prend son CoocPen et commence à écrire ses premières équations, en les commentant. Son écriture est directement retranscrite sur le document précédemment ouvert et le professeur peut suivre le raisonnement de l’élève et voir sa manière d’attaquer le problème. Le professeur prend ensuite son CoocPen et écrit des lignes de correction accompagnés de rappel de cours, que l’élève suis aisément en même temps avec le document.

Hypn – Expression de besoin

Envoyé par le 17 Nov 2020 dans TAF CoOC | 0 commentaire

This entry is part 4 of 6 in the series Hypn

GROUPE 4: HYPN

BOUTHET Elodie – LEBORGNE Roméo – SAMMARI Akram

Expression de besoin

Présentation synthétique du projet

Contexte

53 % des enfants ont un smartphone personnel avant l’âge de 11 ans, alors qu’ils n’étaient que 33 % en 2015 [1]. À 12 ans, ce chiffre atteint même 69 %. Ces chiffres montrent la progression fulgurante de l’utilisation des smartphones auprès des plus jeunes. Ces jeunes adolescents sont dans une période sensible, où tous les interdits peuvent devenir attirants, jusqu’à être addictifs. Le smartphone peut en être le parfait exemple.

Bien qu’auprès des jeunes l’introduction aux objets technologiques est importante dans un monde de plus en plus connecté, elle se doit d’être contrôlée afin de les accompagner au mieux, et ainsi les empêcher d’en subir les possibles dérives.

La sur-utilisation des smartphones peut causer divers problèmes, tels que des problèmes d’insomnies causés entre autres par les écrans bleus des smartphones. Ils peuvent aussi être source de distraction pour ses études, ou encore l’empêcher d’entretenir son corps, voire le dégrader [2]. En effet, les problèmes de vision sont fréquents dans les nouvelles générations, du fait d’une sur-exposition à la lumière bleue des écrans. Il est toutefois bien établi que la lumière bleue est potentiellement plus toxique chez les enfants que chez les adultes. En effet, le cristallin laisse passer 90 à 80 % de la lumière bleue. Ce n’est qu’ensuite, avec l’âge, que le cristallin en vieillissant absorbe mieux cette lumière bleue [3].

 

À cet âge [6-12 ans] […] il faut donc éduquer à une pratique modérée et autorégulée, au service du développement cognitif, en préservant l’équilibre et la santé des enfants (repos des yeux, sommeil, sport, etc.).” [4]

 

Les parents, de plus en plus conscients de cette situation, et inquiets des conséquences que pourraient engendrer la sur-utilisation du smartphone, cherchent des solutions pour empêcher leurs enfants d’en être victime.

 

Problématique

Comment empêcher les enfants de devenir dépendants à la sur-utilisation du smartphone ?

 

Présentation de la solution

Synergie entre matériel et numérique

Notre solution allie un objet physique, la borne de recharge, et une application mobile présente sur le portable de l’enfant. C’est en combinant les deux qu’on obtient le résultat escompté, c’est-à-dire une habitude dès l’enfance à utiliser son smartphone de façon restreinte (notamment le soir), et à s’en séparer physiquement. Ces deux aspects permettront à l’enfant de développer une utilisation saine du smartphone en autonomie, sans créer de tension avec ses parents.

 

Borne physique

La borne serait une boîte en bois, esthétique et design pour qu’elle ne fasse pas tâche dans n’importe quel environnement et décoration.

La borne serait composée d’un tag NFC, d’un système de recharge sans fil de la batterie et/ou de prises USB, et d’un affichage LED.

L’identité du tag NFC serait enregistrée dans l’application afin qu’il puisse détecter le contact de la borne et du portable.

Le système de recharge est une fonctionnalité supplémentaire de la borne, qui permettrait aux utilisateurs de recharger leur portable en même temps que de remettre du temps d’utilisation.

Enfin l’afficheur LED permettrait de rendre visible le temps d’utilisation restant des portables posées sur la borne.

 

Fonctionnalités de l’application

La fonctionnalité principale de l’application serait bien-sûr sa capacité à bloquer toutes ou partie des fonctionnalités du smartphone. Il sera en effet possible de sélectionner les applications dont l’application Hypn bloquera la fonction.

L’enfant pourra également consulter le temps d’utilisation qu’il lui reste grâce au minuteur affiché sur la page d’accueil de l’application.

Les parents auront accès aux paramètres de l’application directement depuis l’application présente sur le portable de leur enfant. Ces paramètres seront protégés par un code secret afin d’assurer que l’enfant ne puisse pas les changer seul.

Lors de la configuration de l’application, elle enregistrera grâce à un premier contact l’identité du tag NFC présent sur la borne. À chaque nouveau contact avec la borne, le minuteur interne se remplira.

 

 

Use case typiques de la solution

Use case enfant 1

Nicolas, 12 ans, rentre du collège à 18h30. Il se met sur son lit et regarde la dernière vidéo de Mcfly et Carlito. Oh zut ! Cela fait déjà 30 minutes. Son téléphone se bloque. Nicolas le pose sur la borne et commence ses devoirs. Au bout d’une heure, son temps d’utilisation est rechargé de 30 minutes. Il peut regarder les autres vidéos de ses youtubers préférés.

 

Use case enfant 2

Il est passé 21h. Les parents de Julie, 11 ans, ont décidé qu’à partir de cette heure-ci, il ne fallait pas qu’elle passe trop de temps sur son téléphone. Julie peut encore filmer sa dernière chorégraphie sur sa chanson préférée pour la mettre sur TikTok mais ne peut plus recharger son téléphone sur la borne. Mince ! Ça y est, Julie a épuisé son temps d’utilisation. Elle prend donc son livre et lit avant d’aller dormir. Le lendemain matin, son téléphone est débloqué avant d’aller en cours. Elle peut montrer dans la cour de récréation sa dernière création à ses copines.

 

Use case parent

Nathalie et Maxime trouvent que leur enfant Julien, 13 ans, passe encore trop de temps à jouer aux jeux vidéos sur son smartphone à la maison. Ils ont décidé d’instaurer plus de règles. Pour cela, ils ouvrent l’application sur le smartphone de leur fils et accèdent aux paramètres par leur code secret. Ils choisissent de diminuer le temps d’utilisation du téléphone à 20 minutes et laissent les 1h déjà définies pour recharger ces 20 minutes. Ils valident ces changements et redonnent à Julien son téléphone.

 

 

Bibliographie

[1]

J.-Y. Alric, « Les enfants ont accès aux smartphones de plus en plus tôt (et ce n’est pas sans risque) », Presse-citron, nov. 02, 2019. https://www.presse-citron.net/les-enfants-ont-acces-aux-smartphones-de-plus-en-plus-tot-et-ce-nest-pas-sans-risque/ (consulté le nov. 16, 2020).

[2]

M.Voisin, « L’enfant et les écrans : regard du pédiatre », Académie des Sciences et Lettres de Montpellier. https://www.ac-sciences-lettres-montpellier.fr/academie_edition/fichiers_conf/VOISIN-2016.pdf

 

[3]

Dr Oliver Laplace, «Pourquoi et comment protéger les yeux d’un enfant face à un écran», 16 janvier 2018.

https://www.lamutuellegenerale.fr/le-mag-sante/prevention/pourquoi-et-comment-proteger-les-yeux-des-enfants-face-un-ecran-u.html

[4]

J.-F. Bach, O. Houdé, et P. Léna, L’enfant et les écrans. Un Avis de l’Académie des sciences. Le Pommier, 2015.

 

FLEM – Expression du besoin

Envoyé par le 17 Nov 2020 dans Projets, TAF CoOC | 0 commentaire

This entry is part 4 of 6 in the series FLEM

Auteur: BEN AYED Marwen, DHOUIB Elias, JAFFRY François-Louis

Contexte et problème

Bien qu’en 2017, seuls 3% des salariés télétravaillaient au moins 1 jour par semaine, le télétravail a concerné 34 % des salariés durant le confinement décrété de mars à mai 2020 [1]. Ce mode de travail, de plus en plus plébiscité par les salariés s’accompagne de beaucoup d’avantages mais présente quelques inconvénients.

Le télétravail qu’est ce que c’est ?

Le télétravail est définit comme suit : « toute forme d’organisation du travail dans laquelle un travail qui aurait également pu être exécuté dans les locaux de l’employeur est effectué par un salarié hors de ces locaux de façon volontaire en utilisant les technologies de l’information et de la communication » (article L. 1222-9 du Code du travail).

Qui peut télétravailler ?

« Le code du travail ne fixe aucun critère ou condition particulière pour déterminer la possibilité ou l’opportunité de mettre en œuvre le télétravail dans une entreprise au profit des salariés. » Théoriquement le télétravail s’applique à toutes les catégories professionnelles, bien que certain profil n’en soit pas compatible[1].

Cependant il ne s’agit pas d’un droit pour le salarié.Il appartient donc à l’employeur de mettre en place le télétravail pour certaines catégories de salariés.

Le télétravail présente de nombreux avantages pour les entreprises, il permet :

– Augmenter la production et la productivité, de l’ordre de 5 à 30 Cependant il ne s’agit pas d’un droit pour le salarié. Ainsi, c’est aux employeurs de décider de mettre en place le télétravail pour certaines catégories de personnels.% [2]

-Améliorer la qualité de vie de ses salariés au travail et par conséquence d’accroitre leur motivation et leur implication

– De réaliser des économies d’échelle sur les locaux (jusqu’à 30 % d’économie sur la surface immobilière [3])

entre 5 et 30% augmentation de la productivité 

Au delà des avantages pour les entreprises, il permet aussi aux salariés :

  • De réaliser des économies de temps, notamment pour les salaries prenant quotidiennement les transports pour se rendre à leur boulot
  • Une plus grande autonomie dans la gestion des tâches

Malgré ces nombreux avantages, le télétravail comporte quand même quelques inconvénients qui peuvent se répercuter au sein de la hiérarchie de l’entreprise: 

  • L’identité des salariés présents physiquement ou non dans les locaux 
  • La répartition des bureaux des salariés présents dans les locaux
  • La satisfaction de l’employé vis-à-vis de ses préférences de jours de télétravail

Compte tenu des différents enjeux que le télétravail présente nous avons tenté de répondre à la problématique suivante : dans quelle mesure le télétravail influence les normes organisationnelles des entreprises, quelles implications et quels défis pour celles-ci ?

Solution

Pour répondre à cette problématique, nous avons opté pour une application permettant de générer des emplois du temps selon les critères des salariés et de leur attribuer un bureau. 

En effet, cette application, disponible pour chaque membre de l’entreprise, propose de saisir ses préférences en terme de jours de télétravail (I). A partir de ces critères, elle propose au manager un emploi du temps conçu pour en satisfaire le maximum. Une fois cet emploi du temps validé par le manager (II), l’application se charge d’attribuer quotidiennement les bureaux aux employés en présentiel, de sorte à respecter les normes sanitaires (III). Cette application sera connectée à un afficheur présent pour chaque bureau (V), qui renseigne en temps réel quels employés sont présents dans les locaux et à quels bureaux ils se trouvent. L’afficheur se base à la fois sur l’emploi du temps conçu par l’application et par la validation de sa présence à son bureau par sa carte personnelle (VI). Cette carte permet, au moyen d’un tag RFID et d’un lecteur présent à chaque bureau, de confirmer la présence et le bureau de l’employé en présentiel. 

Backlog

Après avoir procédé au backlog, nous avons abouti à la conception de user story. Voici le détail des 4 user story sur lesquelles nous allons nous concentrer lors du sprint n°1:

  • En tant qu’employé, je souhaite accéder à mon EDT

La fonctionnalité la plus importante est évidemment d’accéder à son emploi du temps à n’importe quel moment. Il est primordial que l’utilisateur ait accès à son emploi du temps à l’avance, et que le format d’affichage permette de montrer l’emploi du temps quotidien, hebdomadaire et mensuel.

  • En tant que manager je souhaite réaliser les EDT manuellement afin de regrouper des équipes le même jour

Cette fonctionnalité permet au manager de renseigner manuellement dans l’application ses préférences, de manière à choisir quels employés seront présents en même temps dans les locaux. Elle permet ainsi au manager de choisir des membres de la même équipe en présentiel afin qu’ils puissent travailler plus efficacement .

  • En tant que manager je souhaite accéder à tout les EDT afin de mieux gérer les espaces

Cette fonctionnalité permet au manager d’accéder à tous les emplois du temps, afin de prévoir le nombre de personnes présentes pour un jour donné et aménager les locaux en conséquence.

  • En tant que manager je souhaite réaliser la répartition des bureaux afin de regrouper des équipes ensemble

Cette fonctionnalité permet au manager de prévoir quels membres d’une même équipe sont en présentiel, et de les regrouper de manière à ce que la distance entre eux soit minimale. Cela leur permet de faciliter les échanges aux sein de la même équipe en évitant les déplacements inutiles.

Ces fonctionnalités sont essentielles pour la solution que nous proposons, et nous avons donc choisi de nous focalisé dessus dès le premier sprint.

Sources

[1] Site web blog.hubspot.fr

https://blog.hubspot.fr/marketing/chiffres-teletravail

[2] Site web économie.gouv.fr 

https://www.economie.gouv.fr/entreprises/teletravail

[3] Site web teletravailler.fr 

http://www.teletravailler.fr/

 

 

 

 

 

CoOCPen – Présentation des personas

Envoyé par le 16 Nov 2020 dans TAF CoOC | 0 commentaire

This entry is part 2 of 6 in the series CoOCPen

Voici les différents personas retenus :

Commentaires sur le choix des personas

Professeurs

Nous avons décidé d’avoir 2 personas types pour les professeurs compte tenu des personnes interrogées lors de l’étude de terrain.

– Tout d’abord des enseignants à l’aise avec les nouvelles technologies, à l’aise avec les outils d’enseignement à distance, qui cherchent des nouvelles solutions pour dispenser leurs cours comme Grégoire. Ce profil ressort par les professeurs de Sésamaths notamment, consortium cherchant à améliorer l’enseignement des mathématiques. Il recherche un moyen de maintenir l’attention des élèves ainsi que leur participation – l’étude a montrée que les professeurs de Sésamaths déplorent une perte de motivation, les élèves n’ont pas de logiciels d’écriture en simultané -, car pour le moment on n’a pas le même niveau de cours qu’en présentiel (ce dont se plaignent les professeurs de Sésamaths). Ce persona est privilégié à des enseignants moins à l’aise avec les ordinateurs notamment et qui pourraient avoir des soucis à utiliser de nouvelles solutions connectées, comme cela a pu ressortir avec les bénévoles de soutien scolaire.

–  Ensuite, des étudiants dans le supérieur qui souhaitent des donner des cours à distance afin de limiter les pertes de temps et d’argent en déplacement, comme Emma. Ce reproche est souvent ressorti au cours de nos entretiens avec des élèves de l’école. Par ailleurs, ils ont commencé à essayer de donner des cours à distance avec le confinement en utilisant des outils qu’ils utilisent au quotidien à l’école comme Zoom ou Google Docs. Par ailleurs l’étude a montré que les élèves avaient du mal ou cherchaient des logiciels pour collaborer avec l’élève et écrire des formules scientifiques facilement.

 

Elève 

Pour le persona de l’élève, on a choisi une personne au lycée dont la motivation tient à des examens à venir, comme Léa. Au cours de l’étude, on a pu voir que les élèves avaient parfois du mal à suivre et étaient plus spectateurs qu’acteurs des cours – observation et élève de 1ère année qui décrit qu’une poignée seulement d’élèves participent via le chat -.

réCup – Personas

Envoyé par le 16 Nov 2020 dans Projets, TAF CoOC | 0 commentaire

This entry is part 3 of 6 in the series RéCup

Vincent GUILLON – Arthur PILETTE – Raphael VOYER – Pierre DUGAST

Présentation et  des personas :

Cet article présente les différents personas, c’est-à-dire les différents profils d’utilisateurs qui ont un intérêt pour la solution et qui seront appelés à se servir de notre produit. Ces personas ont été mises en place sur la base des différents entretiens que nous avons pu avoir lors de notre étude terrain.

Par conséquent, cet article présentera les attentes des utilisateurs ainsi que les contraintes qui seront appliquées au système final. Chacune des attentes de la persona sera justifié dans un texte explicatif.

 

Persona n°1 : Jean L’HOSTIS – Etudiant au sein d’IMT Atlantique

Jean L’Hostis

Des entretiens réalisés avec des étudiants de l’IMT Atlantique nous ont permis de dresser le persona de Jean. Il a la vingtaine et est étudiant en alternance en école d’ingénieur. Jean fait également partie de l’un des deux profils d’utilisateurs de notre solution de consigne de tasses à café. C’est l’un des plus gros consommateurs de la cafétéria de l’école. Il boit tous les jours des cafés à l’école ; il est important que notre solution de consignes de tasse lui convienne. Il oublie la plupart du temps de les ramener à la cafétéria après consommation et se retrouve donc avec une pile de tasse dans son sac ou bien dans les salles de cours. Il est conscient que cela pose problème aux collaborateurs du RAK qui ont besoin de récupérer leur matériel. Cependant, comme il est surchargé de travail, il ne prend donc pas le temps de les ramener. Il aimerait donc un système qui l’incite à ramener ses tasses afin de rendre service au personnel de la cafétéria. Ainsi, l’idée d’un point de collecte en service après les horaires de fermeture de la cafétéria résoudrait son problème en lui permettant de rendre ses tasses à n’importe quel moment en dépit de son emploi du temps chargé.

Cependant il faut que cela reste pratique pour lui et que le processus de restitution des tasses ne lui prenne pas trop de temps. D’autre part, il a peur que la mise en place d’un tel système ne respecte pas la confidentialité de ses données. Jean souhaite donc que le système soit respectueux de la vie privée de ses utilisateurs et que les données de ses utilisateurs ne soient pas rendues publiques ou utilisées à des fins commerciales.

 

Persona n°2 : Martine FLOCH – Serveuse à la cafétéria de l’IMT Atlantique

Martine Floch

Un premier entretien réalisé avec une employée de la cafétéria de l’IMT Atlantique nous a permis de réaliser le persona de Martine. Elle a la cinquantaine et est serveuse au sein de la cafétéria d’une école d’ingénieur. En tant que collaboratrice de la cafétéria, elle s’occupera de la gestion de la consigne, en la vidant lorsque la réserve de tasses sera pleine. Il est donc indispensable que le système soit en adéquation avec les besoins de Martine. Les produits qu’elle vend le plus fréquemment sont les boissons chaudes et notamment les cafés. Beaucoup de trafic de café signifie également beaucoup de tasses à café. Grandes ou petites, elles servent donc tous les jours et transitent de nombreuses fois par jour dans les mains du personnel : service, lavage, stockage, etc.

La solution proposée ne doit pas entraver la fluidité du service au risque d’être en manque de tasse pour les consommateurs et de faire baisser la motivation de Martine.

Le système ne doit selon pas être une source de travail supplémentaire pour Martine et doit au contraire lui permettre de gagner du temps. Un profil d’utilisateur tel que celui de Martine a donc intérêt à ce que la solution soit simple d’utilisation.

La plupart du temps, les consommateurs de boissons chaudes consomment leur boisson puis ramènent les tasses à la cafétéria. Cependant ce n’est pas toujours le cas ; chaque année un certain nombre de tasses sont perdues ou volées. Martine, en tant que personne sociable et sympathique, se voit mal rappeler à chaque personne qui prend un café de bien vouloir ramener sa tasse. Elle ne tient pas non plus à apporter une mauvaise ambiance, ni à mettre sous tutelle tous les consommateurs. La solution doit donc inciter le public à bien ramener sa tasse sans que ce soit rébarbatif pour lui, ni pour les employés de la cafétéria.

 

Persona n°3 : Jean LESAVAN – Professeur au sein d’IMT Atlantique

Jean Lesavan